Le fascisme n’est pas une opinion comme une autre

Rome avant-hier, vers 21h30.

Des fascistes insultent et menacent un passager indien. Heureusement, des passagères s’interposent.

Le train s’arrête enfin. Mais les fascistes se jettent sur le passager indien, puis continuent de le frapper alors qu’il est à terre.

L’une des passagères qui essaient de les stopper reçoit des coups au visage jusqu’au sang.

Non, le fascisme n’est pas une opinion comme une autre. Il n’a pas à être toléré ni respecté, n’en déplaise aux tribunaux qui veulent nous contraindre au silence et à l’inaction.

Oui, les maîtres du capitalisme peuvent, encore une fois, se réjouir : de pauvres boucs-émissaires prennent des coups à leur place.

Jusqu’à quand ?