La musique est un tatouage invisible

 

J’aime la musique qui prend le temps, les chansons qui nous emmènent plus loin, les morceaux qui ne comptent pas les minutes, comme Live at Pompei des Pink Floyd ou Il n’y a plus rien de Ferré.

LA MUSIQUE EST UN TATOUAGE INVISIBLE

Ce que j’aime pas dessus tout, c’est la musique qui embrasse d’autres rythmes, d’autres langues, d’autres terres, d’autres époques, la musique qui célèbre la rencontre entre deux mondes, par-delà les mers, les frontières, la couleur des paysages et celle des visages.

C’est pourquoi j’ai sollicité Villagers of Ioannina City pour le générique de L’Amour et la Révolution, mêlant rock et rébétiko.

C’est pourquoi j’écoute, tard le soir, à l’heure où le silence et l’obscurité ouvrent le chemin des rêves, de longs et dépaysants morceaux comme cette magnifique version de Kashmir des Led Zeppelin accompagnés de musiciens égyptiens et marocains :

 

 

Si la vie est un voyage, un voyage vers l’autre et simultanément un voyage vers soi, certaines mélodies familières marchent avec nous depuis nos premiers pas jusqu’à nos derniers.

La musique nous colle à la peau, partageant nos larmes, nos rires, nos sueurs, nos désirs.

La musique est un tatouage invisible.

Y.Y.