Koufontinas : « je continue ! »
Le prisonnier a appris par son fils que la demande de suspension de sa peine venait d’être rejetée. Il s’y attendait depuis le début. Il a décidé d’aller jusqu’au bout de sa grève de la faim et de la soif « pour la justice ». Mais de nouveaux obstacles viennent de surgir… C’est dans sa chambre d’hôpital à Lamia, sous haute surveillance policière, que Dimitris Koufontinas a eu confirmation de ce dont il était certain par avance : jamais l’État ne cessera de s’acharner sur lui. Contrairement aux pires fascistes tranquillement installés dans leur cellule VIP puis relâchés en...