Derrière les barreaux, simplement pour avoir dit non

Une pensée pour Giorgos qui, ce soir, à nouveau, dort dans une cellule au commissariat de police, uniquement pour avoir exprimé son désir de riposter aux menaces et attaques tous azimuts du nouveau gouvernement.

DERRIÈRE DES BARREAUX, SIMPLEMENT POUR AVOIR DIT NON

Soutien également aux deux autres membres de Rouvikonas arrêtés hier et relâchés aujourd’hui, suite à l’attaque du siège du Medef grec, dimanche au centre d’Athènes.

Puissent toutes les victimes du capitalisme être encore plus solidaires, dans les temps à venir, avec celles et ceux qui osent le combattre. Nous n’arriverons à le vaincre qu’ensemble, en participant à la lutte chacun à notre façon.

Comme le dit Giorgos dans L’Amour et la Révolution : « Le pire, ce n’est pas une petite action ou une action loupée, le pire c’est l’inaction. »

Rester assis, c’est se mettre à genoux.

Courage Giorgos ! Viva Rouvikonas !

Y.Y.

PS : en outre, le compte de Giorgos est à nouveau bloqué pour un mois par Facebook. Il venait à peine de retrouver l’accès à son compte il y a une semaine.