Ni libéralisme, ni nationalisme. No pasaran
Pour info, ces dernières heures, nous nous sommes permis, ici et ailleurs, de refouler plusieurs groupes confusionnistes et d’extrême-droite qui essayaient, de plus en plus, de faire de l’entrisme et de la récup’ sur la résistance grecque.
LA LUTTE ACTUELLE EN GRÈCE EST UNE LUTTE DE CLASSES, PAR-DELÀ LES FRONTIÈRES, AUX ANTIPODES DES NATIONALISMES QUI ESSAIENT, EN VAIN, DE NOUS RÉCUPÉRER.
Simultanément, à Paris, le mouvement du 14 juillet lancé par le gourou Eric Fiorile avec quelques naïfs et illuminés (soraliens, chouardiens, raéliens, fioriliens et lepénistes), a réussi à prendre la béquille, à défaut de la Bastille :
http://www.donotlink.com/fwuo
Notre lutte n’a rien à voir avec leurs délires paranoïaques, leurs confusions souvent antisémites, xenophobes, homophobes et réactionnaires, ou leur projet nationaliste.
C’est tout le contraire.
Notre lutte est une lutte de classes, par-delà les frontières, aux antipodes des nationalismes qui essaient, en vain, de nous récupérer.
Ni libéralisme, ni nationalisme. No pasaran.
Y.Y.