LE SANG COULE EN SILENCE AU KURDISTAN

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Une question judicieuse posée, parmi d’autres, par Kedistan, Naz Oke et Daniel Fleury :

« (…) Comment expliquer, alors que la solidarité avec la Grèce, les mobilisations européennes autour des réfugiés se sont faites entendre malgré tout, que sur [la question du Kurdistan], directement liée régionalement à ce qui se déroule en Syrie et en Irak, et qui aura à très court terme de très lourdes conséquences, aucune “grande gueule” ne s’ouvre, aucun “intellectuel” ne se lève, aucun politicien ne se déporte de ses petites préoccupations électorales ? »