Flics, patrons et gouvernants, vous allez regretter l’humiliation du 23 juin

13507237_1609543676022920_8500767779165561048_nRdv mardi 28 juin à 14h pour les Franciliens*. En théorie pure : de Nation à place d’Italie. Mais, en réalité, il y aura des surprises, beaucoup de surprises…

FLICS, PATRONS ET GOUVERNANTS, VOUS ALLEZ REGRETTER L’HUMILIATION DU 23 JUIN

La plupart des éditocrates prophétisent déjà la fin du mouvement, au prétexte du refus de la plupart d’entre nous (90% à Paris) de participer à la parodie de manif du 23 juin et, par là même, de ratifier l’invention de la manif-prison.

Ne croyez pas une seule seconde ce qu’ils vous racontent dans leurs pages nauséabondes et sur leurs plateaux télés volontairement coupés des réalités. Rien n’est terminé, même si certaines formes vont probablement changer, évoluer, se réinventer, se diversifier.

Cet été, c’est encore dans la rue que ça se passe : le jour, mais aussi la nuit, à Paris comme en province, dans les villes et ailleurs, contre la Loi Travaille et son monde.

Grèves, manifs, mais aussi et surtout, blocages, irruptions, intrusions, casserolades, porte-voix et big bazars en tous genres (même brefs, c’est déjà ça, surtout si vous le faites bien savoir, multipliez les vidéos et photos, comme pour les entartages), affichages sauvages et tags dans les lieux stratégiques, sur les symboles du pouvoir arrogant et dédaigneux devant nos quatre mois de luttes, dans les zones passantes, sur les routes les plus fréquentées, notamment sur les voies touristiques de l’été, à toutes sortes d’endroits, sans oublier les sabotages (ce mot pouvant signifier beaucoup de choses, à vous de voir, en tout petits groupes invisibles et imprévisibles).

Nous n’avons rien à craindre. La peur est le poison qui paralyse les assis, sous le masque mélancolique de la résignation. Et rester assis, c’est se mettre à genoux.

Y.Y.

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